Sur la Cöte ou en plaine, se rencontrent des lieux-dits « rentes », ensembles de bâtiment autrefois ruraux et isolés, qui le demeurent ou qui ont été englobés par l’urbanisation.
Les Combes
Tout le long de la Côte qui s’étire de Dijon à Nuits se succèdent des combes qui l’entaillent d’est en ouest.
Continuer la lecture de « Les Combes »Avant-après
Marsannay gagné par la conurbation dijonnaise
Tout au long du XIXe siècle et jusqu’à la seconde guerre mondiale, la population de Marsannay, relativement stable, a oscillé entre 700 et 900 habitants.
Jules César
Une légende construite sur un passage imprécis de la Guerre des Gaules.
Continuer la lecture de « Jules César »Murger
La Côte Bourguignonne est sillonnées de murets de pierres sèches formant des soutènements ou des clos. Un paysage de bocage sans haies vertes !
Continuer la lecture de « Murger »Crais et Cras
À Marsannay, les Crais sont à droite en montant à Corcelles, juste avant les Échezeaux ; un autre lieu-dit les Crais est entre le Château de Marsannay et les Favières ; dessous, au sud de la route des grands crus, se trouvent les Cras.
Arvelet, Hervelet
À Fixin, les Arvelets côtoient les Hervelets, deux appellations classées en premier crus. Continuer la lecture de « Arvelet, Hervelet »
Le Meix
En 1790, lorsqu’on fit l’inventaire des biens de la paroisse de Marsannay-en Montagne qui venaient d’être nationalisés et qui allaient être vendus, une vigne est située « en Meix Challot » (devenu Méchalot).
Cf. Arch. dép. de la Côte-d’Or, Q1-18.
Loges
Dans la cour d’un ancien ensemble viticole patara, le toit d’un long bâtiment bas, annexe, se prolonge au nord en un appenti divisé en quatre alvéoles.
On y remisait du bois.
Dans la famille, cet appenti était appelé les « loges ». Continuer la lecture de « Loges »
Le café du Rocher
Le café du Rocher est situé sur la route départementale 974, au n° 85 de la route de Beaune, non loin du croisement avec la départementale 108 qui traverse Perrigny. Il a donné son nom au croisement : on dit maintenant : « Le Rocher », et à la rue qui monte au village. La dénomination s’est même étendue aux salles municipales non loin du croisement rue du Château / rue de la Maladière / rue du Puits de Têt.