En 2001, la ville de Marsannay a fait restaurer une cabotte adossée à un murger, au lieu dit Les Grasses Têtes : sur la droite, en montant au château d’eau depuis la rue des carrières.
Un Fonds d’aide à la restauration du patrimoine bâti viticole, a été lancé en décembre 2017 par l’association des Climats du vignoble de Bourgogne. Il concerne les cabottes comme les murgers.
Les cabottes servaient d’abri et de remise à outils pour les vignerons. Certaines sont isolées au milieu des vignes d’autres prises dans un murger.
L’administration du parc de la Combe à la Serpent, à Dijon, où se trouvent plusieurs cabottes, utilise indûment un terme d’origine provençale qui a remonté le sillon rhodanien et se rencontre au sud de la Bourgogne. Le mot utilisé dans la région de Dijon est bien « cabotte » ou « cabioute » et non « cadole ». (cf. Gérard Taverdet et Danièle Navette Taverdet, Le Parler de Bourgogne, Clermont-Ferrand, Christine Bonneton, 2012.)