À pied, à cheval ou en train.
Imaginez arriver à Marsannay par un chemin blanc, à pied, en voiture (à cheval), ou encore par le petit train Dijon/Gevrey. On longe des champs. Un village au loin, mêlé de végétation, dominé par le clocher de l’église.
Pas de route de Gevrey transformée depuis le pont du Canal en « route des Grands Crus ». Pas d’interminable traversée de la banlieue dijonnaise en continu, jusqu’à Marsannay, et sans voir un seul vignoble ! Pas de route de Beaune le long de laquelle s’égrènent des zones commerciales polluées de publicités géantes. Pas de trottoir éclairé au sol pour venir depuis Couchey ! Pas de lacets de Corcelles entaillant la Côte au profit d’un boulevard pour automobilistes pressés.
En venant de Champagne haute par la rue de la Maladière
Le « Tacot » Dijon-Gevrey y passait.

En venant de Champagne haute par la route des Grands-Crus
Les vignes qui longeaient la voie à l’est sont aujourd’hui remplacées par les lotissements jouxtant le cimetière.
